Après plusieurs stand-ups à succès sur Netflix, Bert Kreischer passe à la vitesse supérieure avec Free Bert, une série comique en six épisodes dans laquelle il incarne une version fictionnelle de lui-même. L’humoriste américain, connu pour ses spectacles torse nu et son énergie débordante, livre ici une satire familiale centrée sur le choc des cultures… et des personnalités.
Une comédie familiale déjantée
Dans Free Bert, Bert Kreischer se retrouve dépassé lorsqu’il inscrit ses filles dans une école privée ultra-élitiste de Beverly Hills. Ses pitreries incontrôlables ne passent pas inaperçues : sa famille est peu à peu mise à l’écart par la communauté chic et très codée du quartier. Pour s’intégrer (et éviter l’exclusion sociale), Bert tente alors de se “normaliser”… ce qui passe par un geste symbolique fort : enfiler une chemise. Autrement dit, se renier lui-même. Pas sûr que cela tienne longtemps.
Un casting prometteur
Bert Kreischer partage l’affiche avec Arden Myrin (The Righteous Gemstones, The Marvelous Mrs. Maisel), Ava Ryan (Keeping Up With the Joneses) et Lilou Lang, jeune actrice à suivre. À l’écriture, à la réalisation et à la production exécutive, on retrouve Jarrad Paul et Andrew Mogul, duo déjà à l’origine de comédies comme The Grinder ou Hello Ladies.
Côté production, Free Bert est soutenue par Counterpart Studios et Berty Boy Productions, la société de Bert et LeeAnn Kreischer. La série est également produite par Tony Hernandez, Lilly Burns, Elise Henderson, Judi Marmel et LeeAnn Kreischer.
Netflix, terre d’accueil des comiques
Bert Kreischer n’en est pas à son coup d’essai avec le géant du streaming. Il a déjà sorti cinq spectacles sur Netflix, dont le dernier, Lucky, diffusé en 2025. Dans une interview, il a loué la liberté que lui laisse la plateforme. Netflix continue d’ailleurs d’investir dans l’humour avec des talents comme Shane Gillis (Tires), Tom Segura (Bad Thoughts), John Mulaney, Kevin Hart ou Ali Wong.
Entre satire sociale, clash des classes et crise identitaire hilarante, Free Bert promet un regard acide et joyeusement barré sur ce que signifie « être soi-même » à l’ère de la conformité sociale.