Bordeaux Geek Festival 2017 : retour sur une journée moite sous les aisselles

9h30 : je suis à la bourre.

10h : J’arrive chez @RhominOff, direction le Bordeaux Geek Festival.

10h30 : On s’est gourés d’entrée sur le parking, 15 minute de marche sous une chaleur écrasante nous attend.

10h45 : On est enfin à l’intérieur, on ramasse nos bracelet « presse » à l’accueil et on retrouve le reste du groupe, @ChicaDRevista, @Frk_C@AgatheDiary et Grégoire, qui eux, savent arriver à l’heure.

10h50 : On fait un tour au point presse pour voir ce qui nous attend. Deux bouteilles d’eau et un canapé. Ok. Juste à côté les VIP’s ont droit à une salle de guedin, avec jeux vidéos, boissons fraîches, canapés luxes et tout le toutim. Le choc des classes.

11h : On commence à faire le tour du festival. C’est assez grand, il y a beaucoup de monde et beaucoup de très beaux cosplay, même si j’en reconnais très peu. On passe par le quartier des innovations et nous nous arrêtons devant les imprimantes 3D. Je suis toujours impressionnée (t’as vu le jeu de mot pourrave là), de voir à quel point leur précision et leur rendu a évolué en quelques années.
On continue en faisant du repérage sur les stand où on voudra s’arrêter plus tard. Et surtout les stands où on voudra acheter des merdouilles. Oui, Funko, c’est à toit que je pense (et c’est à toi que je dois ma pauvreté).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

11h45 : On s’arrête devant le programme et le plan. On se rend compte qu’on est vraiment mauvais en sens de l’orientation.

12h : Direction l’extérieur où des chapiteaux nous attendent. Enfin ils nous attendent pas vraiment, ce sont des chapiteaux. Les chapiteaux n’ont pas de sentiments. Le groupe se sépare en deux. D’un côté ceux qui vont à la conférence de Guss DX, de l’autre nous nous dirigeons vers le chapiteau suivant, à la recherche de Pat La Réalisation et William Soleil (pour que Franck puisse jouer le fan boy). Trouvés ! Du coup pendant que Franck fait la queue sous une chaleur de guedin, on continue le tour du propriétaire. Au menu, course de drones (malheureusement nous ne sommes pas venus à la bonne heure et on n’a rien vu) mais surtout : le paintball/balle au prisonnier/tir à l’arc. Discipline qui a l’air hautement fun. A tester quand il fera en dessous de 30°. Une fois le groupe réunis, on part bouffer.

12h15 : Romain me chope des stickers à notre effigie et décide d’en coller un peu partout dans le festival.

 

12h45 : On se met d’accord sur le sushi burrito accompagné de tortillas au cheddar (le choc des cultures) parce qu’il faut pas mourir con. Bah c’était pas folichon, mais au moins on aura découvert un truc.

12h46 : Romain colle un sticker.

13h30 : Une fois le ventre rempli, on passe faire un coucou à Hara Kiwi, un collectif Bordelais qui réalise des vidéos youtubesques qui nous ont bien fait marrer (en plus ils sont sympa, abonnez-vous à leur chaîne).

13h32 : On a perdu Romain. Il était parti coller un sticker.

14h : Alors que le reste du groupe était parti fêter les 40 ans de Star Wars sur la scène principale, on tente de les retrouver. Mais il y a beaucoup de monde. Je checke mon smartphone et voit que Franck fait un live sur Instagram. Grâce à une triangulation des données (et surtout parce que Romain est plus grand que moi) on retrouve le reste du groupe.

14h15 : On décolle vers de nouveaux horizons et on retourner faire le tour des stands.

14h30 : Vous auriez pas vu Romain ? Ha, il est parti coller des stickers.

14h32 : On s’arrête au stand de LDLC pour jouer à Project Cars sur une bête de PC qui coûte deux fois mon salaire. Hyper fun, mais je suis pas devenue douée dans la nuit visiblement.

14h33 : Plus personne ne veut monter en voiture avec moi.

14h34 : Je vous passe les détails mais on voit plein de jolies choses : du gaming, des cosplays de fou, du merchandising hyper tentant, des dessinateurs bourrés de talents, des gens qui se bastonnent au sabre laser, des jeux de plateaux, de la bière, de la bouffe.

54h72 : On sue. On a soif.

89h45 : Romain part en courant pour faire un Just Dance. Et je suis vraiment désolée de ne pas avoir de vidéo de cet instant magique. Mais heureusement, j’ai des potes vlogeurs.

58h92 : Après avoir acheté plein de conneries (c’est pas vrai, je me suis contenue, j’ai juste acheté un vault boy), on décide, tout comme E.T., de rentrer maison.

46h23 : On se souvient qu’il faut retrouver la voiture. 15 minutes de marche au soleil.

 

Bilan : Pour avoir fait le Comic Con de Paris en octobre, le BGF est clairement au-dessus. C’est plus grand, mieux organisé, il y a beaucoup plus de choses à voir, et surtout, il y a de la diversité. Que du sois gamer, cosplayer, lecteur, dessinateur, passionné de nouvelles technologies… Il y aura forcément quelque chose qui va t’intéresser. Les nombreux stands font aussi que tu n’as pas à faire la queue tant que ça quand tu veux jouer à un jeu, ou simplement discuter avec des personnes hyper intéressantes. En tout cas, si vous n’y êtes pas allé ce weekend, réservez des jours pour l’année prochaine.

elodierhum

Tortionnaire en chef. J'ai attaché les autres contributeurs du site dans ma cave. Pendant ce temps là, je me nourris de comics et de beaucoup, mais alors beaucoup (trop ?) de séries. Sinon je fais vachement bien les crêpes.

4 Comments

  • Dommage d’avoir raté le wagon, j’étais entrain de subir 10h de bus pendant que Rhomin collait ses premiers stickers.

    On en a vu plein le 3eme jour et j’ai filmé Rhomin en coller aussi. Même les filles de l’accueil ont utilisé tes stickers pour coller leurs affiches au comptoir ^^

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