Lorsque Netflix a repris Black Mirror, le monde a un petit peu arrêté de tourner. 12 épisodes de la série dystopique folle de Charlie Brooker : je dis oui.
Profitant du festival Netflix à Paris, Ted Sarandos (patron du contenu de Netflix) s’est adressé à The Independant. À propos de Black Mirror le monsieur confirme qu’ils visent bien une sortie mondiale de la chose. Mais plus important : ils ont fait pleuvoir le fric sur la production. Ils veulent donner à Brooker et Annabel Jones les moyens de leurs ambitions. La série a ainsi tourné un petit peu partout dans le monde, en mode full Sense8. Au passage il glisse un petit taquet à Channel 4 (propriétaire original de la série) en disant qu’ils ont fait ce qu’aurait pu faire la chaîne, mais a choisi de ne pas faire (bien la concurrence).
Mais encore plus important : le service de streaming a donné le contrôle total à Brooker et son équipe. Ça promet des histoires encore plus dérangeantes, et encore plus folles. L’impatience atteint son comble.
Black Mirror : Netflix donne le contrôle total