Cinq ans après l’arrêt brutal de I’m Sorry à cause de la pandémie, Andrea Savage fait son grand retour à la télévision avec Perf, une nouvelle comédie en préparation chez Fox. L’actrice, scénariste et productrice exécutive y tiendra également le rôle principal.
Une nouvelle série comique pour Andrea Savage
Le projet Perf (titre provisoire), développé par Fox Entertainment Studios, est une comédie multi-caméra portée par un casting d’ensemble. Fidèle à son style à la fois mordant et ancré dans le quotidien, Andrea Savage promet une série inspirée de sa propre vie, pleine d’humour et d’autodérision sur la réalité d’être adulte en 2025.
Fox semble vouloir miser sur le retour en force du format multi-caméra, comme le confirme également un autre projet en développement centré sur le comédien Earthquake. À l’heure actuelle, la grille comédie de la chaîne inclut les séries Animal Control et Going Dutch, toutes deux en format single-camera.
Un retour attendu après I’m Sorry
Savage n’avait pas dit son dernier mot après l’interruption brutale de I’m Sorry, sa série acclamée sur TruTV. Le tournage de la saison 3 avait été interrompu à mi-parcours en mars 2020 alors que tous les épisodes étaient déjà écrits. Malgré son annulation, I’m Sorry a trouvé une seconde vie en streaming, avec une disponibilité sur Netflix, HBO Max, Hulu, et prochainement Roku.
Une artiste prolifique
Ces dernières années, Andrea Savage s’est illustrée dans plusieurs projets, devant et derrière la caméra. Elle a notamment joué dans Tulsa King de Taylor Sheridan sur Paramount+, dans le film Netflix Look Both Ways et fait des apparitions dans Veep, Episodes et Curb Your Enthusiasm.
Côté réalisation, elle travaille actuellement sur We Hate Brock, une comédie classée R qu’elle a co-écrite avec Joey Slamon pour Sony Pictures. Elle est également attachée à The Set Up, une comédie d’action dans laquelle elle tiendra un rôle important tout en assurant la réalisation.
Avec Perf, Andrea Savage s’offre un retour qui promet d’être aussi audacieux que personnel. Et si l’on en croit ses mots, la liberté créative accordée par Fox semble être un moteur essentiel :
“Michael Thorn et Fox m’ont promis que je pouvais dire tout ce que je voulais sauf le mot f*&k, alors j’ai signé tout de suite !”